Les très nombreuses réunions auxquelles j’ai participé au cours de ma carrière à la CST, de 1963 à ma retraite en 2002, m’ont énormément apporté : J’y ai rencontré de nombreux professionnels de tous les domaines et tout appris des différents métiers et techniques des industries cinématographiques. Depuis, je suis toujours resté membre et suis, avec intérêt, la vie de la profession dans La Lettre de la CST.

Être membre de la CST pour une association comme l’AFCCA, c’est avoir accès à des outils de visibilité, de partage et de communication en plus d’un soutien structurel. C’est surtout aussi la possibilité d’aborder des sujets transversaux avec les autres départements pour une réflexion globale et commune sur l’avenir de nos métiers, comme l’écoconception, le parc des studios français, la gestion des nouvelles technologies etc… La CST nous a aussi permis de créer en son sein un département Décoration, Costumes et Accessoires, nous offrant ainsi une voix pour faire exister nos métiers auprès des institutions ou lors de grands évènements tels Cannes, outils précieux pour la reconnaissance et la transmission de nos savoir-faire .

La CST a toujours été pour moi le meilleur moyen de se tenir au fait des évolutions techniques et technologiques dans l’audiovisuel au sens large.
Et elle permet surtout d’être acteur et pas seulement spectateur dans ce monde en constante mutation.

Être adhérent à la CST est un moyen de rencontrer différents acteurs de la profession, les échanges et les discussions tout au long de l’année permettent d’avancer sur différentes démarches, réflexions, solutions technologiques et d’anticiper la mise en place de celles-ci. Avoir la possibilité de rencontrer directement les fournisseurs et constructeurs qui feront le cinéma de demain. Ce réseau de techniciens amoureux de leur savoir-faire font que la CST est une association reconnue à travers le monde. Adhérents depuis les années 2000 et représentants du département « diffusion, distribution et exploitation » depuis 2004 ; c’est toujours un bonheur de parler de cette association et d’en faire sa promotion, pour ma part elle la garante d’une réussite parfaite sur les projets d’avenir du cinéma dans sa généralité. Le travail de qualité des permanents, leurs disponibilités au quotidien, le travail acharné sur différents festivals et notamment Cannes en sont l’exemple.

Longue vie à la CST et bon anniversaire !

CST, Comme Commission Supérieure Technique
CST, Comme Communauté de Sympathiques Techniciens
CST, Comme Confrères Soudés au Travail

A La CST, on cherche, on expérimente, on s’informe, on apprend, on découvre le tout entre techniciens de tournage, de postproduction, d’exploitation. Toutes les facettes de nos métiers sont représentées, les dialogues deviennent plus faciles.

Pour moi, comme pour beaucoup de cinéastes, la CST est un élément essentiel de l’ADN sans cesse renouvelé du cinéma. 

Elle veille sur l’excellence de nos films depuis leur fabrication jusqu’à leur diffusion.  

Vigie et actrice inlassable aussi bien sur l’innovation que sur l’établissement de normes, référence incontournable, juge de paix indépendante, elle est indispensable à la vitalité, au respect des œuvres cinématographiques et télévisuelles originales, et à leur préservation dans le temps.  

Car les films, les téléfilms, les séries, au-delà de leur rayonnement culturel, constituent des actifs stratégiques pour notre pays.   

La CST est à nos côtés. C’est un privilège.  

Elle va avoir 80 ans, fêtons-la !  

Longue vie à la CST ! 

Lorsque Pierre William Glenn, il y a quelques années, me proposa de le rejoindre au bureau de la CST, nous étions alors en plein combat pour la sauvegarde des studios de Bry sur Marne avec le MAD et l’ADC .

La nouvelle énergie associative de l’époque, et la perte du label d’agrémentation des salles de cinéma, traditionnellement décerné pas la CST, l’avait amené, avec l’aide de l’ADP et de l’AFSI déjà membre, à proposer le regroupement de l’ensemble des associations professionnelles de l’époque au seins de la CST.

C’est ainsi que j’ai découvert le monde si riche de notre industrie, les exploitants, le son, les directeurs de la photo qui, historiquement installés, parlaient alors une langue technique absolument incompréhensible pour le décorateur que j’étais …

C’est à mon avis, un endroit d’échange pluridisciplinaire majeur, ou peut comprendre et échafauder les réponses des enjeux de demain.

C’est bien là, grâce à la veille continue d’une équipe dirigeante motivante et inventive, que l’on peut transmettre et accompagner les enjeux de nos métiers.

Mai 1945 : parution du premier Bulletin officiel de la Commission supérieure technique. Tout le cinéma français est à réorganiser, après des années d’Occupation. Ce fut fait. Depuis, que de choses accomplies ! La CST a vu défiler l’arrivée du Scope, de la 3D, du 70 mm, du son stéréophonique, etc. Puis ce fut le tsunami numérique. A chaque fois, cela signifiait réviser les normes, les procédures, vérifier tous les paramètres internationaux. Et à chaque fois, nolens volens, la CST a joué son rôle, comme elle le fait toujours aujourd’hui à travers ses publications – richissimes en informations précieuses ! – et ses rencontres formatrices.

Merci pour avoir su créer au fil  de vos 80 printemps cet espace unique d’échange et d’intelligence collective autour de nos pratiques professionnelles.

Et encore bravo pour avoir fait de la multiplicité des approches techniques de nos métiers autant d’occasions de partager une même passion, celle de fabriquer des images et des sons…

Toutes les équipes de Transpa sont heureuses de souhaiter bon anniversaire et longue vie à la CST !

Être membre associé de la CST offre à notre école une proximité privilégiée avec les acteurs techniques du cinéma. Cela nous permet également de rester informés des dernières tendances technologiques et des normes en évolution. Ainsi, nous pouvons adapter notre cursus pédagogique pour rester en phase autant que possible avec les évolutions constantes du secteur et des métiers.

Grâce à notre adhésion à la CST, nous nous tenons au courant des enjeux les plus actuels des technicien·ne·s du cinéma et de l’audiovisuel. Par ailleurs, cela nous permet de faire valoir le service que Crew United leur propose lors d’événements organisés par la CST, comme par exemple les conviviaux CaféS Techniques.

Nous avons de très bons rapports, autant en échanges qu’en évènements organisés (Petits déjeuners enrichissants, organisation d’avant-premières intéressantes).Nous avons ainsi un canal privilégié de discussion avec un monde d’exception, et cela est probant.

En tant que membre associé, le Scare bénéficie d’une veille constante sur tous les aspects techniques liés à la branche de l’exploitation, grâce aux nombreux canaux d’information mis en place par la CST. Cela inclut les préoccupations en termes d’accessibilité et d’impact environnemental. Au-delà, être membre associé de la CST signifie aussi penser et construire des projets dans une même dynamique, à l’image des formations professionnelles que nous proposons en partenariat.

Le principal avantage est de pouvoir participer activement aussi bien que en tant qu’auditeur qu’acteur aux différentes réunions de branche, assurer une veille technologique, apporter à l’ensemble des membres un retour d’expérience sur une technologie tout en mettant de côté l’aspect commercial.

Il s’agit d’une véritable communauté autour de laquelle nous pouvons échanger sans parti pris sur une évolution technique, un besoin particulier lié à nos métiers, un produit etc…

Les membres associés accompagnent régulièrement la CST en faveur du secteur du Cinéma.

Enfin, les membres associés ont également droit à une certaine visibilité de leur activité via la CST.

En y entrant il y a plus de 50 ans, la CST représentait pour moi le lieu parfait pour partager, découvrir, échanger, apprendre, collaborer avec chaque département du cinéma.
Malgré les opinions différentes, des réunions parfois houleuses et certains thèmes contestés, la CST, avec l’aide précieuse des permanents, nous a aidés à surmonter les évolutions de nos métiers respectifs. Pour mon département montage ce fut d’un grand secours lors du passage au numérique.

Ma première adhésion à la CST date de 2020, c’était l’opportunité de se réunir entre associations professionnelles pour aborder ensemble, pour la première fois, le sujet des violences sexuelles et sexistes dans nos métiers. Un an plus tard, lors du Festival de Cannes 2021, la CST m’a fait l’honneur d’être présidente du jury qui remet le PRIX CST de l’Artiste-Technicien. C’est un lieu d’échanges pointus, un carrefour de connaissances.

Ecoprod est ravi de coopérer étroitement et régulièrement avec la CST ! La relation de confiance établie nous a permis de mener à bien des projets ambitieux :  la création d’un catalogue de formations qui ne cesse de s’enrichir, l’organisation d’évènements fédérateurs à Paris (CaféS Techniques) ou à Cannes (Prix Ecoprod).

J’ai été adoubé à la CST par Claude Léon qui en était le Président à la fin des années 1980. 

Il avait été mon “prof” à l’IDHEC, directeur du laboratoire LTC, il était l’archétype de l’artiste-technicien (voir le travail de labo sur le Mystère Picasso de Clouzot) 

Artiste technicien, notre statut, boosté par la dynamique de la Présidence de Pierre-William Glenn dans les années 2000 et que depuis, la CST, notre “communauté”, a toujours vigoureusement défendu. 80 ans !

Bon anniversaire et merci.

La diversité des adhérents qui bénéficient des services de L’Agence du court métrage (des ayants droits, producteurs, réalisateurs aux diffuseurs de tous les secteurs) rend l’accompagnement de la CST essentiel et crucial. À une époque où le numérique a tendance à abolir des frontières techniques : entre le monde de la conservation et celui du livrable, ou encore entre le monde de la diffusion en salles et celui de la diffusion télévisée et sur les plateformes, les prescriptions normatives régulièrement publiées par la CST constituent des repères fiables qui consolident une indispensable base de pérennisation des pratiques professionnelles à venir. Mais ces recommandations ne sauraient être aussi efficaces si elles n’étaient que la conséquence d’un travail descendant. Chaque adhérent est en effet invité à contribuer à leur élaboration selon son domaine d’expérience et d’expertise.

Adhérer à la CST ce n’est pas simplement bénéficier d’un service, c’est participer à une pensée collective et mutualisée du secteur.

Un immense merci à toute l’équipe pour son engagement. Ensemble, continuons à écrire l’histoire du cinéma portés par cette communauté d’experts et de talents qui accompagnent l’évolution des métiers techniques pour proposer aux spectateurs la meilleure expérience possible.
Joyeux anniversaire à la CST !

Mon adhésion à la CST remonte à 1997, au département image dont j’ai été deux fois le représentant. Depuis je suis resté fidèle à cette association que je trouve indispensable à la profession.

Jeune mixeur passionné. Entré à la CST en mars 1970. 50 ans de carrière de 1965 à 2015. Plusieurs centaines de films. Membres du CA pendant plusieurs années et de la commission SON à ce jour. 80 ans aussi en Mars et heureux de ce que j’ai vécu et fait évoluer à la CST.

Commune Image a pu bénéficier de l’expertise de la CST qui nous a appuyé dans la restructuration de l’ensemble de notre activité de post-production, du recrutement de l’équipe au choix du matériel le plus adapté. Avoir accès à un tel niveau d’expertise et à cette proximité d’accompagnement est une richesse non négligeable pour les TPE et PME. 

Le grand saut ! les études terminées, on a choisi sa voie mais pas la façon dont on rentre de plein fouet dans le monde du travail. 

Ce fossé entre la théorie et la pratique.

Entrer en CST c’est rencontrer son réseau, étendre ses connaissances, ses compétences entouré(e) d’une communauté bienveillante, être mieux armé, guidé par des professionnels soucieux des transformations digitales et numériques, favorisant les échanges et le travail. 

Et bien sûr ajouter de la valeur à son cv.

L’Afdas s’est associé à la CST durant ces trois derniers festivals de Cannes pour être au plus près des professionnels du cinéma et promouvoir la diversité et l’égalité entre les femmes et les hommes dans les métiers techniques. Pour preuve, l’Afdas est partenaire du PRIX CST de la Jeune Technicienne de Cinéma et promeut un accès ouvert et égal aux métiers des industries culturelles et créatives.

Pourquoi devenir membre associé-e de la CST ? 

Afin d’être constamment informé-es sur l’actualité des métiers des images et des sons et partager le savoir-faire par la participation aux commissions des départements et à travers la Lettre, en plus des informations accessibles sur son site. La CST, est une « boîte à outils » pour les technicien-nes en activité et celles et ceux en cours de formation. Les étudiant-es peuvent bénéficier des compétences internes et du réseau de la CST, sur un sujet de mémoire ou un projet d’études.

Associée aux institutions, notamment l’AFNOR, l’ITU, l’ISO et la SMPTE, elle veille aux bonnes pratiques tant techniques – pour les salles de cinéma, mais également sur la conception des œuvres en réalité virtuelle, la sécurisation des données numériques en cours de tournage et de post-production, etc. –que sociales et éthiques à travers des formations sur la lutte contre les violences et le harcèlement, la transition écologique, l’éco-responsabilité en régie et gestion de la production. Ajoutons qu’en tant que membre, il est possible de participer aux événements qu’elle organise, de CST Première aux PRIX CST en passant par les CaféS techniques.

La CST est un organisme important pour le contact entre les différents technicien·nes de l’image et du son. Le lieu même est un lieu de rencontres humaines et de formation. L’Arda est fière d’être membre depuis 2020.

Être membre associé de la CST c’est accéder à un immense hub de formations, de temps de partages et d’échanges professionnels. Cette constellation associative regroupant les prestataires de services, les institutionnels et les artisans du rêve que sont les techniciens permet de devenir acteur de sa propre pratique professionnelle en participant à la conceptualisation de ses futurs outils et process de travail.

La Commission Supérieur Technique de l’Image et du Son est avant tout un lieu privilégié de partage et de faire savoir qui réunit des professionnels aguerris en prise directe avec la réalité de terrain. En ce sens,  la CST constitue marqueur essentiel de la construction de l’image et du son et un marqueur essentiel d’innovation et de surveillance au service de la création. 

THERECO a rejoint l’organisation depuis 2022 et nous en sommes ravis ! Participer à des sujets de réflexion important comme la transition écologique des salles en y apportant notre expertise ou encore présenter nos solutions de pompes à chaleurs lors des Cafés Techniques est un vrai plus. Nous espérons être aussi impliqué sur 2024 grâce à l’accompagnement sans faille de la CST.